Chavez, Juan Carlos Zapatero incident
On voit que pas mal des medias européens (français et espagnols) sont d’accord avec l’attitude prise pour Juan Carlos Borbon contre le président Hugo Chavez, sans tenir en compte ni les circonstances, ni l’histoire, ni la diplomatie et sans aucun respect lui tais, le crie et le tutoyé !
M. le roi on est plus dans l’époque de la colonisation, et dans le continent Américain il n’y a pas des monarchies, pourtant on n’est pas vos sujets et on ne doit pas des révérences !
Et il faudrait aussi que les medias s’informent mieux et fassent pareil envers ses lecteurs en donnant les infos à propos de José Maria Aznar, ex président de l’Espagne qu’a méprise les peuples latino américains et ses lois en se permettant traiter de touts les mots a Chavez et en se mêlant dans la politique intérieur des pays libres et souverains.
Le monde:
Le dirigeant vénézuélien n'a cessé depuis son arrivée, vendredi, de traiter le prédécesseur de M. Zapatero, José Maria Aznar (conservateur), de "fasciste". Ces déclarations ont outré l'actuel chef du gouvernement espagnol socialiste qui a réclamé avec insistance davantage de "respect" pour tout dirigeant élu démocratiquement. Le ton est encore monté lorsque M. Chavez, à quelques minutes de la clôture du sommet, a attaqué les chefs d'entreprises espagnols puis de nouveau José Maria Aznar, en ces termes : "un fasciste n'est pas humain, un serpent est plus humain qu'un fasciste". Le roi Juan Carlos, blême, a tenté d'arrêter le président vénézuélien en lui lançant, visiblement furieux : "Pourquoi tu ne te tais pas ?".
Hugo Chavez, emporté dans son discours, a aussi invectivé l'Eglise vénézuélienne et le pape avant d'accuser les Etats-Unis et l'Union européenne d'avoir approuvé un coup d'Etat à son encontre en avril 2002. N'en pouvant plus, le roi Juan Carlos est sorti de la salle lorsque le président du Nicaragua, Daniel Ortega, prenait le parti d'Hugo Chavez et lui redonnait brièvement la parole.
Plus tard, l'ancien chef du gouvernement Jose Maria Aznar a téléphoné à son successeur M Rodriguez Zapatero et au roi Juan Carlos pour les remercier de leur soutien. Le chef du gouvernement lui a répondu qu'il avait agi selon ses "principes" et en vertu du "respect" auquel à droit tout dirigeant démocratiquement élu.
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