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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

vendredi 4 mai 2007

Wal-Mart

Le monde

Un rapport de Human Rights Watch dénonce les pratiques "antisyndicales" de Wal-Mart

Dans un rapport publié le 1er mai, Human Rights Watch (HRW) dénonce "l'amplitude et l'agressivité flagrantes de [la] machinerie antisyndicale" de Wal-Mart, géant américain de la distribution, première entreprise mondiale et plus gros employeur privé des Etats-Unis avec plus de 1,3 million de salariés.
Le rapport de 210 pages, intitulé "Droits au rabais : Wal-Mart bafoue le droits des salariés américains à la liberté syndicale", est le fruit d'une vaste enquête. De 2004 à début 2007, l'organisation américaine de défense des droits de l'homme s'est entretenue avec quarante et un anciens et actuels employés et responsables de magasins de Wal-Mart. HRW indique avoir contacté "à trois reprises par écrit" le géant de la grande distribution pour solliciter des rendez-vous et obtenir les points de vue de la compagnie : "Wal-Mart a refusé de telles rencontres et n'a fourni que des réponses très limitées".

L'organisation épingle ses "pratiques antisyndicales", légales ou non. En premier lieu, elle relève que, comme beaucoup d'autres compagnies américaines, Wal-Mart utilise la faiblesse des "lois américaines sur le travail". "Wal-Mart commence souvent par créer un environnement hostile à la syndicalisation dès le moment où les employés et les directeurs sont embauchés", par le biais de séances de formation ou de vidéos qui visent à "endoctriner les employés avec l'idée selon laquelle les syndicats sont mauvais pour eux et mauvais pour l'entreprise".

ESPIONNAGE, MENACES, SANCTIONS, LICENCIEMENT

Les nouveaux directeurs de magasins reçoivent un guide, "la boîte à outils du directeur", avec "des instructions explicites sur la façon d'empêcher la constitution de syndicats". Ces derniers sont également tenus, selon HRW, de "signaler" tout employé qui tenterait de se syndiquer en contactant la "Union Hotline" ("numéro d'urgence relatif aux syndicats"). Une "équipe de relations du travail" est alors envoyée dans le magasin concerné afin "d'écraser la tentative de syndicalisation". Les employés sont alors "fortement incités" à participer à des réunions où ils sont informés des conséquences de la formation de syndicats et visionnent des vidéos où le "message est dramatisé". Des pratiques qui ne sont pas contraires au droit américain du travail, selon HRW.

Mais HRW note également l'utilisation de "tactiques antisyndicales illégales" : "espionnage" des salariés par les directeurs, utilisation de menaces (perte des avantages) en cas de syndicalisation, interdiction de distribution de tracts devant les magasins, sanctions de partisans des syndicats "y compris le licenciement"... "Les sanctions prévues par la législation américaine du travail sont si minimes qu'elles ont peu d'effet dissuasif", indique le rapport.

En conséquence, souligne HRW, les salariés ont été incapables de mener des actions collectives pour faire valoir leur droit, en matière de salaires, d'heures de travail ou de lutte contre la discrimination sexuelle.

L'organisation demande au Congrès américain d'adopter la "loi pour le libre choix de l'employé" (EFCA). Votée à la Chambre des représentants en mars et actuellement en instance au Sénat, cette loi "augmenterait les pénalités en cas de violations du droit du travail et aiderait à rétablir un processus démocratique pour sélectionner un syndicat en exigeant que les employeurs reconnaissent un syndicat si une majorité de travailleurs signent des cartes montrant leur soutien".

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