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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

vendredi 4 mai 2007

Bravo Chavez!

Le monde

Hugo Chavez se retire du FMI et de la Banque mondiale


Le président Hugo Chavez a annoncé, lundi 30 avril, le retrait du Venezuela du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale. Dimanche, il avait menacé de quitter l'Organisation des Etats américains (OEA). "Nous n'avons pas besoin de voyager à Washington, ni au FMI ni à la Banque mondiale, a lancé M. Chavez lors d'un meeting, la veille du 1er mai. Je veux formaliser la sortie du Venezuela de la Banque mondiale et du FMI." Le président vénézuélien a demandé : "Qu'on nous rende nos sous avant qu'ils nous les piquent, car ils sont en crise, le FMI n'a pas de quoi payer les salaires (de ses fonctionnaires)."
Le chef de l'Etat a évoqué les accusations de népotisme contre le président de la Banque mondiale. Selon M. Chavez, Paul Wolfowitz "est dans un énorme imbroglio, car il a une fiancée à laquelle il a attribué un salaire de je ne sais combien de milliers de dollars". Il s'en est pris aux fonctionnaires internationaux, qui "vivent comme des rois et passent leur temps à voyager en dépensant l'argent des peuples".

Dimanche, lors d'un sommet de l'Alternatibe bolivarienne pour les Amériques (ALBA), une entité créée en 2004 par le Venezuela et Cuba, le président Chavez avait critiqué la Cour interaméricaine des droits de l'homme et l'OEA. La Cour examine une plainte contre la décision du gouvernement vénézuélien de priver d'antenne la principale chaîne de télévision du pays, Radio Caracas Television (RCTV). M. Chavez a accusé la Cour de ne pas avoir condamné la tentative de coup d'Etat de 2002. "Ces organismes ont perdu leur légitimité, alors que des gouvernements comme le nôtre ont la légitimité et la morale pour dénoncer leurs abus", a-t-il souligné. "Si l'OEA, avec tout ce qui est arrivé ici, venait à condamner le Venezuela, alors le Venezuela se retirera de l'OEA. Cuba s'est retiré et n'en est pas mort", a-t-il ajouté.

Initialement prévue à La Havane et en présence de Fidel Castro, l'ALBA s'est réunie à Barquisimeto (Venezuela), les samedi 28 et dimanche 29 avril. En dépit des largesses et des facilités pétrolières offertes par Caracas, l'ALBA peine à exister. Outre M. Chavez, participaient au sommet son homologue bolivien Evo Morales et le président nicaraguayen Daniel Ortega, les seuls à avoir rejoint l'ALBA. Cuba était représentée par son vice-président Carlos Lage. Haïti et l'Equateur étaient présents en tant qu'observateurs.

Il y a un an, fin avril 2006, Caracas avait quitté la Communauté andine des nations (CAN), avant d'adhérer au Mercosur, l'union douanière sud-américaine. La Bolivie souhaite aussi entrer au Mercosur, sans pour autant rompre avec la CAN, dont fait partie l'Equateur.

Paulo A. Paranagua

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