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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

lundi 7 mai 2007

La blogosphère

Le Monde

Soirée sans suspense à la télévision, dépassée par la blogosphère


Comment respecter la règle qui veut que rien ne soit dévoilé avant 20 heures, alors que depuis 17 heures le nom du vainqueur ne fait plus aucun doute ? Contrairement au premier tour, où une ruée sur les sites des journaux étrangers francophones, non soumis à l'interdiction, avait rendu ceux-ci inaccessibles, les internautes ont pu sans difficulté, dimanche 6 mai, découvrir les premières estimations dès la fin de l'après-midi.


Les sites du journal suisse Le Temps, ou celui du Soir, en Belgique, révélaient dès 17 h 30 la victoire de Nicolas Sarkozy. La blogosphère française a multiplié les allusions, souvent sur un mode humoristique, pour faire comprendre aux internautes le résultat sans enfreindre l'embargo. Sur Canal +, les Guignols ont attendu 20 heures pour annoncer la victoire de Nicolas Sarkozy, salué par un chaleureux "Bravo patron !" de la marionnette de Jean-Pierre Elkabbach, le patron d'Europe 1.

Parmi les militants des deux camps, l'information était également connue bien avant la clôture du scrutin et les mines et gestes de certains, montrés par les caméras, en disaient plus que n'importe quel commentaire.

Dès 19 h 30, dans les locaux de France Télévisions, tout le monde sait que les jeux sont faits et certains ne cachent pas leur joie. A l'annonce des résultats, on entend des applaudissements dans la salle de visionnage où les invités, moins nombreux que pour le premier tour, suivent la soirée. Une nouvelle fois, la poursuite en moto du nouveau président de la République constitue le fil rouge de la soirée. Mais à la différence du premier tour, France 2 ne réussit pas à arracher quelques mots à M. Sarkozy.

"Les deux annexes de l'UMP"

Du côté d'Europe 1 aussi, les invités se font plus rares que le 22 avril. La station a conservé le même dispositif : un cordon rouge guidant les invités au travers de la rédaction jusqu'au studio et jusqu'à M. Elkabbach. "Je file à LCI, lance dans les couloirs l'un des invités. Je fais les deux annexes de l'UMP." L'ambiance y est studieuse. En coulisses, Gérard Longuet ne se remet pas de son week-end dans sa circonscription de "Bar-le-Duc city". Le sénateur (UMP) de la Meuse ne reconnaît pas le socialiste Jean-Christophe Cambadélis avec lequel il doit débattre…

Une fois de plus, TF1 s'est fermée à la presse, refusant d'accueillir des journalistes en coulisses. Le PDG, Patrick Le Lay, et le propriétaire de la chaîne, Martin Bouygues, reçoivent les ténors politiques. En régie, le directeur général, Etienne Mougeotte, donne le rythme. Un absent : Nonce Paolini. Le futur directeur général de TF1 est, dit-on, en vacances.

Guy Dutheil, Sylvie Kerviel et Daniel Psenn

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