Vista previa
LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

samedi 16 février 2008

L'explosion d'une bombe artisanale fait un mort et deux blessés à Mexico

Bizarre, bizarre, une bombe qu’explose convenablement après le désastreux tour du « président » du Mexique aux Etats-Unis, et pendent la sulfureuse situation à propos du pétrole (l’ouvrir au capital privées, changer les lois, faire des reformes, etc) sujet tabou pour le peuple mexicain.

Comme ça, une bombe qu’explose de façon tellement bête, dans la main du porteur de l’engin en le tuant évidemment.

Une bombe « sans objectif » en vue, faite maison avec matériel appartenant a l’armée mexicaine (on peu pas trouver ailleurs ce plastique explosif C4).

Le narco ? Que ferai le crime organise en s’amusant avec un truc pareil ! Idiot, le narco il à matériel de pointe plus puisant que celui de l’armée, et qu’est qu’il gagne avec un acte pareil? Les narcos ne sont pas bêtes.

Une bombe a l’odeur a…. rideau de fume.



Des policiers mexicains sur le lieu de l'explosion, dans le centre ville de Mexico, le 15 février 2008.


REUTERS/HENRY ROMERO
Des policiers mexicains sur le lieu de l'explosion, dans le centre ville de Mexico, le 15 février 2008.

Le monde

Un homme a été tué et deux autres [2] personnes ont été blessées, vendredi 15 février, par l'explosion d'une bombe de fabrication artisanale dans le centre de Mexico. "Pour l'instant nous ne connaissons pas" les circonstances exactes du drame, a dit Joel Ortega, le patron de la police de Mexico, qui soupçonne la personne tuée d'être le poseur de bombe.

"D'après les informations dont nous disposons, le modus operandi et les caractéristiques de l'explosif, on peut conclure que cette action n'est pas attribuable à des groupes armés ou subversifs", a déclaré le Parquet général de la république dans un communiqué, suggérant ainsi un règlement de compte qui a mal tourné. Aucune revendication n'a été adressée aux autorités mexicaines.

MAFIAS

En juillet et en septembre, deux séries d'attentats revendiquées par la guérilla d'extrême gauche de l'EPR (Armée populaire révolutionnaire), ont visé des gazoducs de la compagnie pétrolière PEMEX. Aucun appel avertissant d'un attentat n'a été reçu par les autorités, ce que s'était engagé à faire l'EPR il y a quelques mois en annonçant qu'elle continuerait son action contre le gouvernement.

Les médias mexicains évoquaient également la possibilité d'une action d'une des mafias de la drogue qui n'hésitent pas à éliminer leurs adversaires, mais elles sont généralement très ciblées, contre des policiers ou des membres de cartels rivaux.

* * *


Aucun commentaire: