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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

samedi 24 novembre 2007

Mexique: les rideaux de fumée de Norberto Rivera

Tandis qu'en France les pédophiles son incarcérés, au Mexique ils sont libres et protégés par des cardinaux, des hommes politiques et des juges..... voici les rideaux de fumée du cardinal Norberto Rivera pour se donner de bonne conscience, et en plus le très chrétien cure incite à la violence et âpres pleure partout:

Le monde

Reportage

Des violences dans la cathédrale de Mexico attisent les rancoeurs entre la gauche et l'Eglise

Des militants de gauche, ulcérés par le son des cloches qui couvre leur meeting, envahissent la cathédrale de Mexico, le 18  novembre 2007. | AP/MARCO UGARTE
AP/MARCO UGARTE
Des militants de gauche, ulcérés par le son des cloches qui couvre leur meeting, envahissent la cathédrale de Mexico, le 18 novembre 2007.

Une volée de cloches un peu trop insistante a porté à son comble le conflit, rouvert depuis plus d'un an, entre la gauche mexicaine et une hiérarchie catholique proche de la droite au pouvoir, mais surtout désireuse d'assouplir les règles de la laïcité en vigueur au Mexique, plus restrictives qu'en France. Dimanche 18 novembre, cet antagonisme a pris un tour spectaculaire lorsque des partisans d'Andres Manuel Lopez Obrador, dit "AMLO", ont envahi la cathédrale de Mexico, interrompant la messe, renversant les bancs, faisant fuir célébrants et fidèles.

La raison de leur colère ? Alors que la gauche regroupée autour d'AMLO, qui n'a pas accepté sa défaite à la présidentielle de 2006, tenait une "convention nationale démocratique" sur la place du Zocalo, au pied de la cathédrale, les cloches ont sonné pendant dix minutes, rendant inaudible le discours de Rosario Ibarra, sénatrice du Parti de la révolution démocratique (PRD, gauche). "Sonnent-elles pour saluer notre convention ? Ou veulent-elles faire taire la voix du peuple ?", s'est interrogée à voix haute Mme Ibarra, qui s'est défendue ensuite d'avoir voulu inciter à la violence.

Mais le mal était fait. Amplifié par les médias, le "catedralgate" - selon la formule d'AMLO, qui dénonce un "complot" ourdi par ses adversaires - a escamoté les propositions élaborées par la gauche et permis à l'Eglise catholique de se présenter en victime de l'intolérance, tout en aggravant la fracture entre radicaux et modérés au sein du PRD.

L'archevêché a fermé "jusqu'à nouvel ordre" la cathédrale. Il a exigé, en préalable à sa réouverture, des garanties écrites de la part du PRD, assorties d'une protection policière. Ce geste sans précédent réveille le traumatisme de la "guerre des Cristeros" : à la suite des lois anticléricales promulguées en 1926, le soulèvement de plusieurs provinces avait provoqué des dizaines de milliers de morts, et aucune messe n'avait pu être célébrée, pendant trois ans, dans la cathédrale de Mexico.

L'incident de dimanche, souligne Bernardo Barranco, expert des questions religieuses, n'est que l'aboutissement d'une longue mésentente entre la gauche et la hiérarchie catholique - au premier rang de laquelle l'archevêque de Mexico, le cardinal Norberto Rivera. Personnalité controversée, recherchant volontiers les projecteurs, celui-ci avait d'abord noué une chaleureuse amitié avec M. Lopez Obrador, qui fut le maire de la capitale avant de briguer la présidence de la République.

Le lien s'est rompu lorsque le cardinal, au lendemain d'une élection entachée d'irrégularités et de polémiques, a été la première figure de la société civile à féliciter le vainqueur, le conservateur Felipe Calderon. Les agressions verbales - plus de 24, selon l'archevêché - se sont alors multipliées, la proximité de la cathédrale et du Zocalo, où la gauche tient souvent ses rassemblements, attisant des rancoeurs mutuelles.

L'Eglise n'a pas pardonné à la municipalité PRD de Mexico d'avoir fait voter par l'assemblée locale des lois autorisant l'union civile des couples homosexuels et libéralisant l'avortement - deux sujets qui étaient restés tabous sous le règne de M. Lopez Obrador.

"Norberto Rivera, el infierno te espera (l'enfer t'attend)", scandaient des fidèles d'AMLO à chaque apparition du prélat, notamment lors de la messe dominicale. Le cardinal n'a pas non plus apaisé les esprits, allant jusqu'à se dire "menacé de mort" et s'appuyant sur une organisation d'avocats catholiques beaucoup plus offensive que la conférence épiscopale, qui a préféré garder ses distances.

Mexilios: Norberto (a) Perverto pour couvrir des phédophiles, est un inocent main pleine et recherche des rideaux de fume pour cacher aussi son gout pour les lux, ses prétentions politiques, son éloignement des percepts catholiques chretienes etc....

Car de nombreux croyants reprochent à Norberto Rivera d'avoir couvert les agissements de prêtres suspects de pédophilie, en particulier ceux du fondateur de la Légion du Christ, Marcial Maciel (suspendu en 2006 par le Vatican), ou encore de Nicolas Aguilar, accusé d'avoir abusé d'au moins une cinquantaine de jeunes garçons au Mexique et en Californie.

La Cour suprême de Los Angeles a renoncé, fin octobre, à juger le cardinal Rivera pour "conspiration à la pédérastie" dans l'affaire Aguilar. Mais ces accusations, relayées pendant des mois par des médias mexicains longtemps timorés sur le sujet, ont affaibli l'image du cardinal, et à travers lui de l'Eglise catholique, au moment où celle-ci espérait peser sur une éventuelle réforme constitutionnelle. Afin d'obtenir le droit d'assurer un enseignement religieux dans les écoles publiques, ou de posséder des chaînes de télévision.

Joëlle Stolz

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