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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

samedi 13 octobre 2007

Mexique: Fox un vulgair voleur

RFI


Fortune de Vicente Fox : enquête parlementaire

L'ancien président mexicain Vicente Fox, interviewé en direct le 8 octobre par Larry King, présentateur vedette d'une émission de CNN.     (Photo : Reuters)

L'ancien président mexicain Vicente Fox, interviewé en direct le 8 octobre par Larry King, présentateur vedette d'une émission de CNN.
(Photo : Reuters)


L'ex-président mexicain Vicente Fox (2000-2006), soupçonné de détournements de fonds publics et de campagne, va être l'objet d'une enquête parlementaire, a annoncé la Chambre des députés. L'étalement de la richesse de l'ancien président empoisonne le gouvernement de Felipe Calderon. D'après la déclaration sur son patrimoine publiée dans la presse mexicaine, la fortune de Vicente Fox est passée entre 2001 et 2006 de 2 à 6 millions de dollars.

Avec notre correspondant à Mexico, Patrice Gouy

La clameur sociale pour éclaircir l’origine de la fortune de l’ancien président Vicente Fox et de sa famille a conduit les députés de tous les partis à approuver la création d’une commission d’enquête. Le ministre de l’Intérieur, pourtant du même bord politique, a lui aussi donné son feu vert, offrant d’ouvrir largement les archives gouvernementales.

Vicente Fox étale partout sa richesse, en parle à tort et à travers, et roule dans un véhicule de luxe de provenance douteuse. Bref, on lui reproche de s’être enrichi avec les contrats d’Etat.

Dans une entrevue à la chaîne américaine CNN, Vicente Fox estime qu’on lui fait un mauvais procès et qu’il n’a rien à se reprocher : qu’ils fassent leurs enquêtes, ce sont des bêtises. Il n’est pas certain que cette commission veuille aller jusqu’au bout.

Néanmoins, c’est la première fois dans l’histoire du Mexique qu’un ancien président est mis sur la sellette. Son parti le PAN, la droite au pouvoir, ne le laissera sans doute pas tomber, mais il voudrait au moins qu’il se taise et disparaisse. Vicente Fox a très mal pris le conseil. Il estime maintenant qu’on veut à tout pris le bâillonner.

* * *
Quelques vérités sur Fox

En Mexilios ça nous fait plaisir de lire une info sur un sujet qui fait du bruit au Mexique, le cas Fox. Dommage que n’est pas un article de fond.

Mais on pourra compléter l’info :

Cette histoire est tellement ridicule qu'on pourrait même rigoler, mais malheureusement on peu pas vu le niveau de corruption et de mal que Fox a enfreint au Mexique. Ont exprime dans La Jornada et Rocha.

Vicente Fox, a été vendu comme un produit « démocratique », oui je dis bien produit, sont des grandes multinationales qui l’ont lance. Parce que sa personnalité instable avec des troubles psychologiques, il a du être suivi par un psychiatre et prendre des médicaments.

Fox était un très mauvais homme d’affaires qui à mène à la faillite les entreprises familières, ont du être sauves grâce au FOBAPROA.

Son bavardage, sa vulgarité, son ignorance, inculture, menteur compulsif, sa manque de vision et son disant addiction au « prozac », ne font pas de lui un homme politique fiable.

Mais il a reçu des millions des dollars et le coatching des assesseurs américains et espagnols pour faire de lui l’home fort à gagner la présidentiel et c’est ainsi que c’est passe.

Charismatique certes, mais ignorant et parlant de tout sans arrêt en s’en servant de la moquerie pour agresser ses adversaires ; il a su conquérir l’électorat qu’avait marre du PRI, et Fox à vendu un rêve, et des promises que n’a jamais tenu: tout comment « je suis un homme honnête, je suis un de vous regardez je n’ai rien, en ce moment même pas ma chemise ne m’appartient»

Puis l’abus de pouvoir, corruption, son enrichissement illicite, detournement des fonds, gaspillage de l'argent publique, présomption des liaisons avec le narco, son haine contra AMLO et finalement le fraude électoral contre AMLO et a faveur du candidat du PAN Calderon en le donnant la victoire le 2 juillet passe avec un peu crédible 0.56%, parmi des autres irrégularités commis par Fox et sa famille, mais allons à un article apparu en 2005

Le gâchis de Vicente Fox

Voici un extrait:

(...)

« Fox a commis une erreur politique monumentale, accuse un ancien ministre. A une récente réunion de chefs d'entreprise, il est arrivé en claironnant : Obrador ne sera jamais président, on tient une affaire dont il ne se relèvera pas ! »

(…)

Luis de la Calle porte le nom d'une grande famille du Mexique. « Fox avait un bon bilan en matière de stabilité de l'économie et de progrès démocratiques , dit-il. Cette affaire risque de donner le sentiment que ces progrès sont réduits à néant. » Le sénateur Manuel Bartlett Diaz, un dinosaure tendance vieille garde du PRI, ne mâche pas ses mots : « Fox a définitivement atteint son niveau d'incompétence. Si le PRI avait fait ça, on aurait déjà eu le Congrès américain et le Département d'Etat sur le dos. » Le 14 avril, dans une interview à la radio, Lino Korrodi, un financier qui fut l'un des fondateurs du groupe « Les amis de Fox », désavouait son champion : « Des millions de Mexicains avaient tout misé sur Vicente Fox, un candidat qui avait montré du courage, de la volonté et du caractère. Mais son arrivée à la présidence n'a donné qu'un gouvernement faible, craintif et insipide. » Comme si cela ne suffisait pas, le Mexique a dû retirer son candidat à la présidence de l'Organisation des Etats américains (OEA). Au ministre mexicain des Relations extérieures, Luis Ernesto Derbez, soutenu par les Etats-Unis, les pays de la région ont préféré le Chilien José Miguel Insulza, ministre du gouvernement de centre gauche de Ricardo Lagos.

(...)

Un président dévalué. Quelle disgrâce, soudain, pour Fox, ce président aux allures de cow-boy Marlboro, avec sa gueule de ranchero, qui plaisait aux foules et flattait l'image du Mexique ! Voilà peu encore, il gardait une bonne cote de popularité auprès de 60 % de ses concitoyens. En 2000, à son arrivée au pouvoir, il incarnait l'espoir d'un printemps démocratique pour le Mexique. L'élection de ce conservateur au discours novateur avait mis fin à soixante-dix ans de monoculture politique sous l'emprise du PRI, avec son cortège de corruption et d'abus de pouvoir en tout genre. Mais l'automne de Fox sombre dans les travers de ses prédécesseurs et le Mexique semble renouer avec ses vieux démons. Seize mois avant la fin de son mandat, Vicente Fox fait déjà figure de président dévalué. Il assure d'ailleurs à qui veut l'entendre qu'il est ravi à l'idée de retrouver bientôt son ranch et ses chevaux.

(...)

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