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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

mercredi 12 septembre 2007

Attentats sur comande????

C'est quand même miraculeux, toutefois qu’il y a un problème pour le gouvernement de Calderon (c’arrive souvent vu l’inefficacité du chef d’état mexicain et son équipe), et voila des attentats d’une guerrile qui dans son site internet ne dis rien de cela, et une guerrille tellement ennemie du gouvernement qui le fabrique ses attentats quand il y en a le plus besoin….. curieux, curieux.


Nouveaux "attentats politiques" au Mexique contre la société publique d'hydrocarbures

Un gazoduc en feu, lundi 10 septembre 2007, dans l'Etat de Veracruz (Mexique). Les attentats n'ont pas fait de victime, mais les incendies ont contraint 20 000 habitants à quitter leur foyer. Les dégâts matériels sont importants. | REUTERS/IMELDA MEDINA
REUTERS/IMELDA MEDINA
Un gazoduc en feu, lundi 10 septembre 2007, dans l'Etat de Veracruz (Mexique). Les attentats n'ont pas fait de victime, mais les incendies ont contraint 20 000 habitants à quitter leur foyer. Les dégâts matériels sont importants.


Pour la deuxième fois en deux mois, des charges explosives ont endommagé des gazoducs ainsi qu'un oléoduc de la société publique d'hydrocarbures Pemex. Le gouvernement mexicain a condamné ce qu'il appelle "des attentats politiques" soupçonnant un groupe d'en être l'instigateur. Les six charges ont explosé simultanément vers 3 heures du matin, lundi 10 septembre, en différents points de l'Etat de Veracruz (est), l'un des plus peuplés du Mexique.


Il n'y a aucune victime, mais les violents incendies ont contraint à évacuer 20 000 habitants des communes avoisinantes, et les dégâts matériels sont importants : plus de mille entreprises - parmi lesquelles Volkswagen, Honda, Nissan et le principal producteur de verre du pays, Vitro - sont affectées par les coupures d'alimentation, ressenties jusque dans la zone industrielle de Guadalajara. La Pemex a déclaré qu'il lui faudrait au moins cinq jours pour réparer ses installations.

SURVEILLANCE CONFIÉE À L'ARMÉE

En juillet, des explosions similaires s'étaient produites sur des gazoducs dans les Etats de Queretaro et Guanajuato (centre). Elles avaient été revendiquées par l'Armée populaire révolutionnaire (EPR), groupuscule d'extrême gauche qui a connu plusieurs scissions depuis quinze ans. Il annonçait une "campagne de harcèlement" contre le gouvernement conservateur du président Felipe Calderon, dont l'élection, en 2006, a été contestée par la gauche. Depuis l'Inde, où il se trouve en visite officielle, M. Calderon a condamné les attentats. "Dans le Mexique démocratique d'aujourd'hui, il n'y a pas de place pour ces actes criminels, a-t-il dit. Les causes se défendent dans l'arène des idées, des institutions, dans le cadre de la loi, et non en détruisant le patrimoine des Mexicains."

Lundi soir, aucune organisation n'avait encore revendiqué les explosions de Veracruz. Selon le quotidien El Universal, la police disposerait de photos révélant la "signature" de l'EPR - notamment la demande, déjà formulée en juillet, que soient libérés deux de ses membres dont les autorités nient la détention. "Vivants ils les ont pris, vivants nous les voulons", affirme un message de l'EPR.

Selon les experts, les attentats de juillet étaient du travail de professionnels. Ceux de septembre montrent que, malgré les mesures de sécurité renforcées aux endroits stratégiques - la surveillance des gros dépôts de carburants étant souvent confiée à l'armée -, les autorités, très occupées à contenir les narcotrafiquants, ont du mal à contrôler les dizaines de milliers de kilomètres de canalisations de la Pemex, dont les plans détaillés sont du domaine public. Ces attentats se produisent dans un contexte crispé entre le gouvernement et l'opposition de gauche. Pour éviter les incidents, M. Calderon a dû renoncer à présenter son premier bilan annuel, le 1er septembre devant le Congrès. L'ancien candidat de la gauche à la présidentielle, Andres Manuel Lopez Obrador, devait rencontrer, mardi 11 septembre, les 135 législateurs du Front ample progressiste, alors que le gouvernement s'apprête à faire adopter une réforme fiscale décisive.

Joëlle Stolz

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