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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

mercredi 22 août 2007

Un plan au profit des USA

L'ouragan Dean a opaque les infos en general et surtout à propos de la réunion trilatérale de l'Amerique du Nord (Mexique, USA et Canada), et ses arrangements sous la table pas convenables pour le Mexique.
Une réunion ou se traitent les affaires prioritaires des USA tels comme s'ouffir le pétrole mexicain et en plus le surveiller ainsi que a touts les mexicains avec un sophistique équipe, soit disant contre les "narcos" ou contre le "terrorisme", ca dépend, mais la vérité c'est contre la souveraineté de la République Mexicaine.

Mais aujordhui a sorti un petit info dans Le monde:

Washington et Mexico peaufinent un plan antidrogue commun

Elaborer une stratégie commune aux Etats-Unis et au Mexique pour lutter contre le trafic de stupéfiants "n'est pas facile", a estimé le président américain George Bush, à l'issue du sommet des trois leaders nord-américains, tenu lundi 20 et mardi 21 août dans un grand hôtel de Montebello, au Québec.

"Il y a un plan, mais je ne peux pas vous dire quand il sera prêt", a ajouté M. Bush, en insistant toutefois sur l'importance des discussions qu'il a eues à ce sujet avec le président mexicain Felipe Calderon. "On veut une stratégie commune musclée, aussi efficace que possible, dans notre intérêt mutuel" (Mexilios: intérêt des USA of course!), ce qui nécessite un "train de mesures permettant de s'attaquer au narcotrafic de part et d'autre" de la frontière.

Le président mexicain est tout aussi convaincu de la nécessité d'aller de l'avant. "Le Mexique, affirme-t-il, a déjà une politique agressive de lutte contre le crime organisé. Nous avons neutralisé 10 000 narco-trafiquants et saisi 4 000 armes, mais ces actions ne seront pas efficaces tant et aussi longtemps que nous n'aurons pas une stratégie coordonnée, alors que les mafieux en ont une."

(Mexilios: excuses mr Calderon, mais ce que vous avez fait c'est un plan que médiatique rien que pour essayer de vous legitimiser, parce qu'avec votre 0.56% il n'y a pas trop de crédibilité et pire encore avec toutes votres maladroiteses. Puis votre " politique agressive" n'a rien donne en clair que ouvrir les portes de l'enfer, plus des morts, plus de violence, plus des violations aux Droits de l'homme, plus d'impunité. Vous n'avez pas decomise des drogues dures, que de la marijuana, tandis que les vrais narcos font des bussines avec vous...... Tout a était fait contre la société et pour militariser le pays, un coup d'État comme votre ascension au pouvoir.)

"Je veux que mon gouvernement assume ses responsabilités, mais chacun doit faire sa part", a ajouté M. Calderon, tout en renvoyant la balle aux Américains. Il souligne à cet égard qu'il y a des mafias des deux côtés de la frontière et que les armes des trafiquants mexicains viennent des Etats-Unis.

La lutte antidrogue passe aussi, selon M. Calderon, par un important "travail de prévention" dans les pays comme les Etats-Unis, où il faut chercher "l'origine du problème", et mettre en œuvre des "politiques visant à réduire les habitudes de consommation de drogues".

Ni le président américain ni son homologue mexicain n'ont voulu donner de détails sur l'accord bilatéral en cours de discussion. Mais le premier a insisté sur le fait qu'il serait complètement "différent du plan Colombie" en vertu duquel Washington fournit une assistance financière et logistique à Bogota pour lutter contre le trafic de drogues.

M. Calderon a indiqué qu'il s'agirait plutôt d'échanges de renseignements et de technologies dans le cas du Mexique et qu'il n'était "pas question d'avoir des soldats américains opérant sur notre territoire".

LE PASSAGE DE L'ARCTIQUE

La lutte antidrogue est un "bon exemple" de démarche commune engagée par des "pays souverains, à la fois indépendants et interdépendants, bons voisins et bons amis", a, pour sa part, estimé le premier ministre canadien, Stephen Harper, hôte de cette rencontre trilatérale de concertation, officiellement consacrée aux questions de sécurité et de prospérité.

Le bon voisinage n'exclut toutefois pas les divergences d'opinions. S'agissant des questions de souveraineté en Arctique, M. Harper a dû reconnaître que les Etats-Unis et le Canada ne voyaient "pas les choses de la même manière".

e Canada, a-t-il rappelé, a bien l'intention de "renforcer sa souveraineté en Arctique et dans le passage du Nord-Ouest", alors que les Russes revendiquent la leur sur une large partie du cercle polaire.

De son côté, M. Bush a réaffirmé la position traditionnelle des Etats-Unis concernant le statut du passage du Nord-Ouest, lequel devrait être libéré des glaces au moins six mois par an d'ici quelques années, offrant une nouvelle route maritime attractive entre Atlantique et Pacifique.

"Selon nous, c'est un détroit international", a affirmé M. Bush. Il a toutefois ajouté que "les Etats-Unis ne remettent pas en cause la souveraineté du Canada dans son archipel arctique et soutiennent les investissements qu'il fait pour la défendre".

Anne Pélouas

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Un milliard de dollars pour le combat contre les traficants

Des sources mexicaines citées par le quotidien espagnol El Pais à propos du plan commun de lutte antidrogue en cours de négociation entre Washington et Mexico, évoquent un budget de un milliard de dollars (737 millions d'euros), étalé sur les six ans de mandat du président mexicain Felipe Calderon. "Il s'agit d'un chiffre nettement supérieur aux 27 millions de dollars actuellement perçus par le Mexique", souligne une source anonyme.
Les Mexicains ne veulent pas que le projet soit assimilé au "Plan Colombie", "parce qu'au Mexique la question de la souveraineté est très sensible", a déclaré à la BBC José Carreño, analyste du quotidien mexicain El Universal.
"La différence avec le plan Colombie c'est qu'il n'y aura pas un volet militaire", renchérit Andrew Selee, au Centre Woodrow Wilson, interrogé également par la BBC. "Il faut encore voir ce que diront les démocrates, qui contrôlent le Congrès américain, ajoute M. Selee. Leur position dépend largement du contenu du projet en cours de négociation. Il devra être favorable aux deux pays et insister sur les droits de l'homme."


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