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LE NOUVEAU GOUVERNEMENT MEXICAIN EST ENTRE EN GUERRE SAINTE CONTRE SON PROPRE PEUPLE. ARRESTATIONS ARBITRAIRES D'HOMMES POLITIQUES COMME DE SIMPLES PASSANTS QUI AVAIENT LE MALHEUR DE SE TROUVER AU MAUVAIS ENDROIT AU MAUVAIS MOMENT, GENERALISATION DU VIOL DES PRISONNIERES, DE LA TORTURE Y COMPRIS SUR DES ENFANTS DE HUIT A DOUZE ANS , CENSURE DE TOUTE OPPOSITION... LA LUTTE NE FAIT QUE COMMENCER. El nuevo gobierno mexicano a entrado en guerra santa contra su propio pueblo. Imposición, traición, doble discurso, ruptura del pacto social, ningún respeto por los derechos humanos con la consiguiente tortura, prisión, muerte de luchadores sociales e inocentes. Censura y desprecio por la cultura y la educación.... LA LUCHA COMIENZA.

mercredi 21 mars 2007

La poule aux oeufs d'or

  1. Le Financial Times et le cabinet de conseil en management McKinsey ont établis le classement des 150 premières entreprises non cotées, en estimant leur valeur boursière, si elles étaient cotées. Résultat, les deux premières mondiales sont la Saudi Aramco suivi de... Pemex (415 milliards de $) !
  2. Bien sûr, le journal penche en faveur des privatisations : une industrie si prospère, si rentable, et les riches ne peuvent même pas y investir ? Comme c'est rageant. Ils ont beau souligner que deux sociétés pétrolières de tailles similaires dans les années 80, BP et la Kuwait Petroleum Corp. avaient le même chiffre d'affaire (29 milliards de $), et qu'aujourd'hui, le CA de KPC est de 50 à 60 milliards alors que BP en est à 250 milliards, grâce à une politique audacieuse d'acquisitions et de prospections géographiques tout azimut, loin du dirigisme statique des monopôles d'état.
  3. On sent bien ici l'empreinte de l'idéologie libérale, ce nouveau capitalisme dit "patrimonial", incapable de considérer une entreprise autrement qu'en termes de rentabilité pour la minorité favorisée des populations mondiales : les actionnaires. On lit ici à livre ouvert dans l'esprit de nos dirigeants, téléguidés par l'Ecole de Chicago et la Maison Blanche de Washington. On voit déjà le futur dépeçage de la Pemex, anticonstitutionnel mais qu'importe, pour plaire à nos maîtres du Nord et aux portefeuilles de leurs acolytes mexicains. La poule aux œufs d'or n'est que trop tentante.
  4. Mais ces journalistes, ces théoriciens oublient un peu vite que la Pemex à d'autre but que l'enrichissement de quelques uns. Ce trésor national dont les fruits ne sont déjà que trop confisqués par les habituels corrompus, ce bien de tous, c'est, le revenu de l'état que la pauvreté du pays ne permet pas de retirer de l'impôt. Pas assez d'entreprises pour l'impôt sur les sociétés, pas assez de classe moyenne pour l'impôt sur les revenus, pas assez de richesses pour alimenter une consommation qui elle-même alimenterait des ressources en TVA supérieures aux autres impôts précédemment nommés, comme c'est le cas dans les pays riches. Les dividendes de la Pemex se retrouvent dans nos hôpitaux, nos routes et nos écoles, pour le peuple. Il est vrai que le mieux être social des Mexicains n'est pas une valeur boursière…

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