El monopolio del poder

María Teresa Jardí
Para reina del narcotráfico: la del Sur de Pérez-Reverte. Desesperado, que anda el usurpador, el que ni disfrazando de militares ...', CAPTION, 'Patéticas maromas para encubrir a la CIA', FGCOLOR, '#E1F0FF', BGCOLOR, '#24537d', BORDER, 1, CAPCOLOR, '#ffffff', TEXTCOLOR, '#000000');" onmouseout="return nd();" href="http://www.poresto.net/content/view/2110/61/"> Por esto!
jueves, 04 de octubre de 2007 | |
María Teresa Jardí Para reina del narcotráfico: la del Sur de Pérez-Reverte. Desesperado, que anda el usurpador, el que ni disfrazando de militares a sus hijos se legitima, a alguien un poco más leído de su equipo se le debió ocurrir inventar una reina acompañada de un capo colombiano para encubrir al cártel, de cárteles, ese sí, que encabeza la CIA, además, tan miserablemente asesina. |
Maintenant on passe aux infos en espagnol...... Ahora pasamos a otros temas, hablabamos de un avion y de la CIA...... Yo acuso a la CIA | | | |
jueves, 04 de octubre de 2007 | |
Mario Renato Menéndez Rodríguez sería un fiel custodio del Santo Grial. La verdad tiene un alto costo y hay que estar dispuesto a pagarla por su precio, aún a riesgo de la propia vida o abandonarla a su suerte, que no es mucha cuando no la cobija la dignidad de los hombres. Los POR ESTO! están, ahora con mayor prioridad, en la mira de la CIA. POR ESTO! denunció desde el primer momento que el narco-avión operado por la CIA había surcado, desde hacía tiempo, los cielos del mundo para trasladar presos políticos a la base naval de Guantánamo, en el Oriente cubano, y convertida en eventual cárcel de "terroristas" de Afganistán e Irak, fundamentalmente.
Mario Renato Menéndez Rodríguez sería un fiel custodio del Santo Grial. ...', CAPTION, 'Yo acuso a la CIA', FGCOLOR, '#E1F0FF', BGCOLOR, '#24537d', BORDER, 1, CAPCOLOR, '#ffffff', TEXTCOLOR, '#000000');" onmouseout="return nd();" href="http://www.poresto.net/content/view/2111/61/">Leer completa |
04/10/2007
Leçon n°1 : Faites défiler des filles nues
Et oui évidemment il fallait y penser. PETA (People for the Ethical Treatment of Animals), l'organisation de défense des animaux la plus puissante au monde en a fait sa marque de fabrique.
Source : AFP
La crise déclenchée par le scrutin présidentiel du 2 juillet 2006 - la gauche refusant de reconnaître la victoire de M. Calderon - a remis sur le pied de guerre la petite dizaine d'organisations clandestines qui coexistaient au Mexique, dans les Etats déshérités d'Oaxaca et du Guerrero, ainsi qu'autour de la capitale. Après l'étouffement par les forces fédérales de la "Commune d'Oaxaca", fin novembre 2006, elles ont fait le constat que "la voie pacifique" pour une transformation de la société semblait "définitivement bloquée". Le conflit d'Oaxaca reste un foyer mal éteint : l'EPR présente sa nouvelle offensive comme une réaction à la disparition de deux de ses membres, fin mai à Oaxaca, et désigne comme responsable le gouverneur de cet Etat, Ulises Ruiz.
Les attentats de l'été, commis dans les Etats centraux de Guanajuato et de Queretaro, puis dans celui de Veracruz, sur la côte atlantique, indiquent un changement d'échelle. Jamais l'EPR n'avait agi si loin de ses bases ni fait preuve d'une telle sophistication. Ce saut qualitatif a nourri bien des hypothèses, depuis des complicités à l'intérieur de la Pemex jusqu'à une opération de la CIA pour "déstabiliser" le voisin immédiat des Etats-Unis - sans doute la dernière chose que souhaiterait Washington -, en passant par une diversion favorable aux "narcos".
Selon une source proche des enquêteurs, les récents attentats, réalisés avec des explosifs disponibles dans le secteur de la construction, portent la patte de l'EPR, même s'ils supposent un entraînement spécial. Par des membres de l'ETA basque réfugiés au Mexique ? Des guérilleros colombiens ? D'anciens militaires mexicains ? L'unique certitude est l'impact obtenu : pas un blessé, mais un maximum de dégâts matériels, entraînant pendant une semaine une baisse de 25 % de l'approvisionnement en gaz et la paralysie de milliers d'entreprises, jusqu'aux usines sidérurgiques de la côte pacifique. L'EPR y a gagné en notoriété, notamment auprès des secteurs de l'opinion qui croient que seule la lutte armée peut aboutir à un réel changement, soit 15 % des Mexicains, selon un sondage de 2006. Même s'il faut relativiser aujourd'hui ce chiffre, il révèle un réservoir de sympathie pour la guérilla parmi ceux qui avaient voté pour le candidat présidentiel de la gauche, Andrés Manuel Lopez Obrador, dit "Amlo".
Signe des temps, l'Armée zapatiste de libération nationale, l'EZLN du "sous-commandant" Marcos, en net retrait depuis plus d'un an, a exprimé sa solidarité avec l'EPR tout en dénonçant avec virulence la gauche "institutionnelle, qui n'est qu'une droite honteuse", et la complicité de celle-ci, au Chiapas, avec le harcèlement des communautés zapatistes. "Amlo", qui sillonne le pays pour fédérer les mécontents, a réitéré son attachement à une opposition non violente. Se gardant de l'attaquer, l'EPR a concentré ses critiques contre la présidente de la Chambre des députés, Ruth Zavaleta, membre comme "Amlo" du Parti de la révolution démocratique (PRD), mais figure de proue du courant prêt à composer avec le gouvernement. Le fossé se creuse entre une gauche institutionnelle, engagée dans la dynamique du travail parlementaire, et la base "lopezobradoriste" qui l'accuse de "traîtrise".
CONTRE LES "CHUCHOS"
La première, autour du courant Nouvelle Gauche, dit des "Chuchos", domine la direction nationale du PRD, et contrôle les groupes parlementaires fédéraux (Sénat et Chambre des députés) et l'Assemblée législative de la capitale. Elle se targue d'avoir négocié avec la droite, en échange de la réforme fiscale, une loi qui rogne l'influence des chaînes de télévision commerciale et autorise les candidatures indépendantes. Et elle a obtenu le remplacement des conseillers de l'Institut fédéral électoral, dont l'opposition avait blâmé la partialité durant la crise de 2006.Mais ses adversaires viennent de lancer la bataille : c'est un proche d'"Amlo", Alejandro Encinas, qui briguera contre les "Chuchos" la direction du PRD lors de son prochain congrès, en mars 2008. Il a reçu le soutien du maire de Mexico, Marcelo Ebrard, fort de l'énorme appareil de la capitale. Malgré tout, M. Encinas croit possible de préserver un front commun. Après l'élection frauduleuse du président Carlos Salinas en 1988, "le salinisme a réussi à incorporer des forces de gauche" à son projet de libéralisation économique, rappelle-t-il. "Je ne vois rien de tel aujourd'hui", ajoute-t-il. M. Encinas minimise la demi-douzaine de défaites subies par son parti depuis un an dans des scrutins régionaux, la plus significative étant celle d'Oaxaca, où ses représentants se sont laissé corrompre par M. Ruiz, et où l'opposition a choisi l'abstention massive. Le PRD risque même de perdre, le 11 novembre, son bastion du Michoacan, fief de la famille Cardenas.
L'opposition voit surtout lui échapper une partie de son argumentaire, intégré à la rhétorique gouvernementale. M. Calderon a pris soin de se réconcilier avec Cuba et le Venezuela de Hugo Chavez, deux images sensibles pour la gauche. Le 21 septembre, il a asséné à des chefs d'entreprise médusés un discours stigmatisant les fortunes "construites sur le sang et la douleur de la moitié des Mexicains", ou encore la "médiocrité" d'élites auto-satisfaites. Prise entre le feu de la guérilla et l'onction du langage présidentiel, la gauche mexicaine peine à arrêter une stratégie qui ne soit pas seulement la politique du pire : miser sur l'échec des réformes.
L'avion qui s'est écrasé cette semaine au Mexique transportait des tonnes de cocaïne en provenance de Colombie, en vue de les livrer à un cartel de drogue, a rapporté jeudi un membre du bureau du procureur général de la région du Yucatan.
Les autorités mexicaines ont arrêté le pilote de l'avion, Edik Munoz Sanchez, mardi soir, a précisé l'interlocuteur d'AP, souhaitant garder l'anonymat.
L'avion Gulfstream II de 21 places s'est écrasé lundi dans l'Etat du sud du Yucatan, environ 260 kms à l'ouest de la station balnéaire de Cancun. La police a trouvé des sacs remplis de 3,7 tonnes de cocaïne.
M.Munoz, un citoyen mexicain, a été soigné pour déshydratation et son genou cassé. Il a alors été interrogé, a rapporté le membre du bureau du procureur général.
Il a ainsi confié aux autorités que l'avion et la cocaïne appartenaient au chef du cartel de drogue Sinaloa, Joaquin "El Chapo" Guzman, qui s'est enfui de la prison fédérale en 2001 et qui est le baron de la drogue le plus recherché au Mexique.
Deux autres hommes, Dante Pat Caamal et Leonel Ayala Lopez, ont été arrêtés lundi à proximité du lieu de l'accident pour avoir essayé de corrompre les soldats devant mener l'enquête et emporter la drogue, a déclaré le bureau du procureur général du Yucatan.
L'ambassade américaine à Mexico a affirmé que des agents américains avaient été envoyés sur place car l'avion avait une immatriculation américaine.
Le Mexique est un lieu de transit majeur pour la cocaïne colombienne circulant vers les Etats-Unis. AP
«Eoliennes, biocarburants, voies ferrées inutiles, c'est un gaspillage colossal !» affirme Christian Gerondeau dans son livre, «Ecologie, la grande arnaque» *. «Tout n'est pas imputable aux écologistes», lui répond Dominique Voynet...
Le Figaro Magazine - Parler de «grande arnaque» à propos de l'écologie, c'est assez violent...
Christian Gerondeau - L'arnaque, ce n'est pas d'affirmer la réalité du réchauffement climatique, ce n'est pas non plus d'évoquer la responsabilité des activités humaines. L'arnaque, ce sont les centaines de milliards d'euros ou de dollars prélevés sur les contribuables du monde entier et gaspillés chaque année sans aucun résultat, au nom d'hypothétiques remèdes aux risques qui nous menacent. Si les écologistes ont raison de dénoncer les dangers, l'idéologie prend vite chez eux le pas sur la rationalité. Si l'on songe que le nucléaire est actuellement l'unique solution pour produire massivement de l'électricité sans rejeter de gaz à effet de serre, leur hostilité à son égard est un flagrant exemple. Tout ceci nous vient largement d'Allemagne, dont la politique officielle est de faire des éoliennes et du solaire, alors que, parallèlement, elle met en chantier des centrales à charbon par dizaines. L'Allemagne est actuellement le pays le plus pollueur d'Europe, tout en se donnant les apparences de l'écologie. Au contraire, nous sommes de très loin les meilleurs au sein des grands pays industriels, grâce au nucléaire et à un parc automobile sobre. Nous émettons deux fois moins que les autres. Or, sous l'influence d'un politiquement correct venu d'ailleurs, nous dépensons des sommes colossales pour construire des éoliennes qui ne fonctionnent qu'un quart du temps, subventionner des biocarburants aux rendements dérisoires ou bâtir des infrastructures inutiles, le tout sous prétexte de «sauver la planète», qui justifie désormais tout et n'importe quoi, sans aucun impact perceptible sur nos émissions.
Dominique Voynet - Quand on veut vendre un livre, il vaut mieux trouver un titre qui happe l'attention, quitte à céder à la caricature. Cela étant, j'enregistre avec soulagement votre ralliement... Vous reconnaissez désormais la gravité des problèmes... Il n'y a pas si longtemps, les écologistes étaient des «catastrophistes», des ennemis du progrès. Roselyne Bachelot, ministre de l'Ecologie, affirmait que l'essentiel de l'effet de serre était dû à l'inclinaison de la terre ! Il n'est aujourd'hui plus possible de nier, il reste difficile de prendre les bonnes décisions, notamment parce qu'en France on attend toujours le salut... des progrès de la science et des techniques, sans se remettre en question. «Ne vous inquiétez pas : grâce à la qualité de nos chercheurs et de notre appareil technologique, nous saurons inventer les solutions.» Cela vaut pour des problèmes particuliers, comme l'amélioration des carburants, dont on a éliminé le plomb ou le soufre. Mais face au changement climatique, à l'assèchement de la mer d'Aral ou à l'épuisement des ressources des océans, les solutions ponctuelles sont impuissantes. Et puis, il y a le facteur humain : nous sommes de plus en plus nombreux. L'aspiration au développement des peuples est légitime. L'impact de leurs activités est très fort. Comment demander aux peuples du Sud de faire des efforts, si nous ne les faisons pas nous-mêmes ? L'écologie est un défi sérieux, et je suis effarée de voir la sottise ou l'inconsistance de certaines propositions, comme, par exemple, les «agro-carburants», qui sont une aberration. Ne pas arbitrer entre l'utilisation de la terre agricole pour nourrir l'humanité ou faire rouler des voitures est irresponsable et criminel.
Christian Gerondeau - Je suis d'accord. Le prix des céréales augmente partout parce que le président Bush subventionne ses agriculteurs pour des raisons électorales. Le résultat est que plus de la moitié du maïs américain sert à produire du carburant dans des conditions de rentabilité désastreuses, tandis qu'au Mexique les plus pauvres ne peuvent plus se payer de tortillas, qui est leur nourriture de base. Et que faisons-nous, en France ? Nous subventionnons un réseau de centaines de pompes à éthanol, alors que nous n'avons ni éthanol pour les alimenter, ni véhicules pour les utiliser ! Pourquoi aussi faire des éoliennes qui produisent de l'électricité quand on n'en a aucun besoin, puisque les pointes de demande d'électricité interviennent lorsqu'il fait très froid ou très chaud, c'est-à-dire au moment des anticyclones, quand il n'y a pas de vent ! Lorsqu'elles ne tournent pas, pour faire face à la demande, elles doivent être prises en relais par des centrales thermiques. Autrement dit, leur choix même, outre leur encombrement et le bruit qu'elles génèrent, implique la pollution. L'arnaque, c'est que l'on garantit aux firmes qui installent les éoliennes 82 euros pour 1 000 kilowattheures, alors que l'on peut faire au même moment du courant issu du nucléaire au coût marginal de 5 euros. Qui paye les 77 euros de différence ? Le consommateur. Tout cela pour céder à la mode écologiste.
Mexilios:
Le cas du Mexique ce n'est pas si simple que cela, certes le prix du maïs a augmente de façon dangereuse grâce principalement aux "spéculateurs", les deux ou trois monopoles des grains qu'existent dans le pays parmi un est Mexicain: MASECA qu'ont "investi" des ressources pour la campagne électorale de Calderon. Apres il ont tout simplement présente la facture il s'agissait de retenir le monopole et aussi de faire des grosses bénéfices.
En revenant au maïs, il faut faire la paire des choses et c’est le maïs alimentaire qu’a plutôt augmente de prix pas celui avec on produit des biocarburants, tout justement pour une histoire de spéculation plus de des prix a niveau mondiale.
voir aussi les libeles: migra